Par un beau jour de septembre 2008 naquit Linguapolis, fruit de trois passions : celle des langues, celle de l’envie de partager son savoir, et celle du monde de l’entreprise.
Aux mauvaises langues qui ne donnaient pas cher de la (jeune) peau de Linguapolis dans le contexte de crise économique de l’époque, je répondis d’un haussement d’épaules qu’il fallait bien se lancer à un moment ou à un autre.
A ceux qui s’exclamèrent que la concurrence déjà bien présente sur la technopôle de Sophia ne ferait qu’une bouchée de cette petite nouvelle venue un peu innocente et que je n’avais aucune chance, je répondis que je ne voyais pas pourquoi je ne pourrais pas y trouver ma place.
Bilan 10 ans plus tard ?